Parfois, je ne sais comment, apparaît un de mes anciens textes... Pour ce jour sans inspiration avec cette seule question : être ou ne pas être vacciné -. C'est vrai que cette polémique occupe mon esprit! Comment échapper aux médias, aux visions des politiciens, des économistes inquiets, des avis rassurants ou inquiétants de nos éminents médecins ou chercheurs médicaux . In fine je ne sais plus quoi penser! Cette minorité qui refuse le vaccin, mais considérés par les plus hautes instances comme des anti citoyens...devenus les ennemis de la nation...qu'ils mettent en danger les autres!!! Comment, si ceux-ci sont vaccinés, où est le risque? Et encore parmi les inoculés, certainement qu’il y en a qui ne sont pas non plus convaincus mais qui par lassitude– c’est mon cas – accepteront la Big Pharma piqûre. On devient fataliste et on s’en fout. De toute façon on n’y échappera pas ; la mort est inévitable ; et mourir, c’est laisser la place à la vie. Voilà ce que j’appellerais le vrai devoir du vieux et fragile citoyen du monde. Encore que devoir ne soit pas le terme le plus adéquat. Les contraintes ne sont pas systématiquement en adéquation avec notre psyché originelle qui est amour aussi pour les suivants. Non tout cela n'est pas clair!
Oui, et donc, à court d'idées, je me relis...
Évidemment, le plus facile serait d’allumer la télé ou
cliquer sur Google
Pour échapper à l’ennui qui nous ronge dès qu’on ne se sent
plus utile
Et laisser la question en suspens : « De pourquoi
sommes-nous là ? »
Puisque selon d’éminents philosophes, nous sommes ici pour
une raison.
Mais laquelle ? « La preuve par l’âme »,
de la plume de feu François de Witt,
Apporterait-elle la réponse déjà évoquée chez les anciens
Grecs de Platon ?
Bien qu’Aristote émît quelques doutes aux visions du Maître
quant à l’au-delà.
Le Néant, d’après lui, règlerait l’hypothétique avenir de
notre si précieux esprit :
L’amour platonique en prime…et le Paradis ! Ce
que réfuteront les cartésiens
Terre-à-terre, dont certains plus athées clameront : « Après-nous
les mouches ! »
Bah, si cela ouvre le débat des religions, qui ne sont pas
faites pour les chiens !
-
Encore qu’un St François
d’Assise, pour cette idée, soupirerait de cette approche :
« -Plus importants que les bêtes, nous les humains ? » Au nom de Dieu !
Et l’Avant ?
Avant que nous puissions transmettre par l’écriture ce
Verbe du Commencement
Qui nous permit de structurer nos pensées, notre Évolution
et graver l’Histoire,
Ce qui n’empêchera pas – et serait même un frein - les sophismes, poussant au désespoir,
Cette humanité aujourd’hui masquée,
Soumise aux nouvelles lois du Marché.
Petit rappel d’une chanson, écrite à Paris, en 1988.
« Je lève le voile »
(Aujourd’hui, ce serait plutôt :
Bas les masques)
Arrangements : Alan Booth
Je suis l’enfant d’un pays
franc !
Je lève le voile des idées noires, dissipe
ainsi tout le brouillard.
À visage frais et découvert mes yeux
regardent la lumière
Perception vraie, action réelle ;
sciences nouvelles je m’émerveille !
Ici j’apprends pour entreprendre.
Encore enfant que l’on m’entende.
Dites-moi pourquoi, pourquoi tout ça
Au nom des dogmes, au nom du Droit,
Je vois partout guerres et misères :
C’est plus la Terre, mais un traquenard.
Mon vrai visage n’est pas l’image
Des anciens mages rivalisant.
Je suis l’enfant d’un pays franc
Et serai maître de mon destin.
Je lève le voile des idées noires et suis
les voies de l’Univers
Dans cet élan, j’oublie frontières et j’veux
comprendre tous les mystères.
Un jour un sage me murmura, qu’il faut des
lois et religions
Pour protéger populations, mais sans excès
et sans émoi.
Alors dites-moi pourquoi, pourquoi tout ça,
Au nom des dogmes, au nom du Droit,
Je vois partout guerres et misères :
C’est plus la Terre, mais un mouroir
Mon vrai visage n’est pas l’image
Des anciens mages rivalisant.
Je suis l’enfant d’un pays franc
Et serai maître de mon destin.
Je mets le voile pour ne plus voir autour
de moi tout ce cafard.
Dis-moi, homme sage, pour cet enfer, n’y-a-t-il
donc rien à y faire ?
Petit enfant, ne sois pas triste.
Écoute en toi couler la vie ;
Et trouve en toi l’Originel de ton instinct
qui te réveille.
Et comme un rêve, loin des soucis
Au fond des temps, loin dans la nuit,
Je mets le voile sans dévotion sur les tabous
et religions
Mon vrai visage n’est pas l’image des anciens
mages rivalisant.
Ce monde nouveau, je veux le faire sans aucun
voile, ni de frontière.
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