dimanche 6 février 2022

 Lettre à l'ami Philippe, prof de Philo...

Oui cher ami,

  Et si... (réflexions qui me viennent à l’esprit en découvrant Jonathan Franzen au travers de son dernier essai : « Si on arrêtait de faire semblant » - que tu m’as conseillé de lire... Si quoi ?

-         - Cette introspection en usant - et comment pourrions-nous faire autrement? -  car, qu’on le veuille ou non, les artéfacts guident nos pensées et s’agglutinent comme une boule de neige dévalant la pente et se transforme en avalanche avec les conséquences néfastes pour les moins avertis qui représentent, hélas, la grande majorité des humains.  La prudence serait donc de se hisser au plus haut des sommets, à l’instar du Dalaï-Lama, méditer, prier, atteindre le nirvana ...que la finitude soit... Et ne même pas se poser la question de comment alors sera le monde.  Surtout en ce qui me concerne !  Ne suis-je pas un de ces ensevelis, qui n’aie qu’une idée, limitant mon esprit :  m’en sortir au-dessus de cet amas nauséabond. Bien sûr, quelques soubresauts de lumière nous guident, des feux d’espoir attisés par le hasard (forme discrète du Divin) que captent des êtres d’exception qui parfois deviennent des célébrités mais, ô combien d’anonymes ? Des femmes, des hommes animés de cette flame d’amour qui heureusement nous apportent un certain réconfort...et me donne encore l'envie de chanter, chanter:

P  PR:

L’Essénienne ? 




Une voie, un chemin très ancien…oublié ;  comme vivait cette tribu juive au temps de Jésus...



Écoutez les amis un instant
J’ai trouvé le chemin éternel
Que nous soyons de simples mortels
Dans l’ensemble nous restons vivants

Je vous parle au nom du Tout Puissant
L’Homme ne peut agir en mesure
Qu’en chassant cet enfer du dedans
Pour « bien faire »,  il doit être pur

Que du fond de l’abîme où nous sommes
On puisse encore y trouver des hommes
Est la preuve de l’amour infini
De Celui qu’on appelle ainsi

J’ai le remède pour vivre longtemps
Suffit d’être dans le mouvement
Manger du frais et du vivant
Vous garderez toutes vos dents

Ce qui permet d’être souriant
Dilate le nez évidemment
Il faut que l’air entre en dedans
Et nous aurons l’air bien portant

J’évite de cuire les aliments
Avant de les prendre je les sens
Je recherche les vrais artisans
Le moins possible le tout-venant

Le lait de vache je le laisse aux veaux
Le sein de maman pour les poupons
Quant à l’alcool et le tabac
Faut être fol pour aimer ça

Méditation sans référence
Oublie l’ennemi c’est ta puissance
Esprit tranquille bien au repos
Permet d’agir sans confusion

Vibre dans le vent comme les saisons
Le vrai bonheur est au présent
Se manifeste alors l’Originel
De ton instinct qui te réveille

Et tu seras bien dans ta peau
Pourra aimer tout comme il faut
Quant à la terre pour les suivants
Vaut mieux mourir sainement

Merci



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