lundi 15 avril 2024

 

À la fin de sa vie, Badinter disait :

L’Homme est un animal qui tue...

Oui, ce gigantesque être vivant qu’est la Terre est bien frappée d’un cancer que sont ces radicaux libres :  nous les Homo Sapiens.

Notre psyché est totalement en infraction avec la vie sur la planète.  Notre cerveau est comme un moteur mal alimenté par un mauvais carburant (surtout la malbouffe entre autres) d’où son manque de discernement.  Au vu des événements...  

Adieu ce fameux cinquième commandement :

« Tu ne tueras point ! »

Coupables ?

 Mais bien sûr que nous sommes coupables...Moi comme les autres !

Déjà, il y a plus de vingt-et-un siècle, sous les yeux des apôtres,

Un Ponce Pilate s’en lavant les mains, abandonna à la plèbe et aux marchands

Qui décidèrent du sort de ce Fils de l’Homme – et de Dieu pour les croyants .../...

On l’appelait   

L’Essénien ? 

  Un clic sur ce lien pour écouter cette chanson

  Une voie, un chemin très ancien…oublié ; comme vivait cette tribu juive au temps de Jésus.

Ont-ils survécus ?  Oui, par l’oubli de leur propre identité.

Hommage à la non affirmation d’appartenir à un clan, vecteur de conflits depuis la nuit des temps. 

 

Écoutez les amis un instant

J’ai trouvé le chemin éternel

Que nous soyons de simples mortels

Dans l’ensemble nous restons vivants

 

Je vous parle au nom du Tout Puissant

L’Homme ne peut agir en mesure

Qu’en chassant cet enfer du dedans

Pour « bien faire »,  il doit être pur

 

Que du fond de l’abîme où nous sommes

On puisse encore y trouver des hommes

Est la preuve de l’amour infini

De Celui qu’on appelle ainsi

 

J’ai le remède pour vivre longtemps

Suffit d’être dans le mouvement

Manger du frais et du vivant

Vous garderez toutes vos dents

 

Ce qui permet d’être souriant

Dilate le nez évidemment

Il faut que l’air entre en dedans

Et nous aurons l’air bien portant

 

J’évite de cuire les aliments

Avant de les prendre je les sens

Je recherche les vrais artisans

Le moins possible le tout-venant

 

Le lait de vache je le laisse aux veaux

Le sein de maman pour les poupons

Quant à l’alcool et le tabac

Faut être fol pour aimer ça

 

Méditation sans référence

Oublie l’ennemi c’est ta puissance

Esprit tranquille bien au repos

Permet d’agir sans confusion

 

Vibre dans le vent comme les saisons

Le vrai bonheur est au présent

Se manifeste alors l’Originel

De ton instinct qui te réveille

 

Et tu seras bien dans ta peau

Pourra aimer tout comme il faut

Quant à la Terre pour les suivants

Vaut mieux mourir sainement

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