dimanche 16 février 2020

À la veille du jour de Noël, le 24 décembre 2019, j’écrivais sur  mon blog :

« On devient quelqu’un à partir de deux »avais-je lancé fièrement à une époque très active de ma vie professionnelle.  C’est vrai qu’alors les contacts ne manquaient pas ; qu’une famille aimante et respectueuse contribuait à mon propre épanouissement : celui d’un homme dans la force de l’âge qui réalisait ses projets avec succès.  C’était avant.

  Maintenant ce quelqu’un, sans plus jamais l’Autre, sait qu’il n’est plus personne. » 

Or, il m’arrive néanmoins quelques soubresauts de spontanéité en rencontrant l’une ou l’autre personne de la gente féminine.  Alors mon imagination débordante me fait oublier le poids des années et me sens léger comme un jeune soupirant.   Oui, ça fait du bien…Mais je sais d’avance que ce sera sans lendemain.
 Soyez rassurées, mes chères Gentilles Dames vous n’aurez pas à supporter la lourdeur de mon insistance.   Je m’effacerai comme j’en ai pris l’habitude.  


Et c’est mon côté négatif, vous savez, le fait de regardez vers l’arrière, le passé, etc. qui émerge une fois de plus ; que, sur cet iceberg au milieu de l’océan, bat le pavillon du doute. Il me semble que l’inconscient collectif ait retenu la leçon depuis le Titanic.  Un homme qui doute, ça mérite un grand détour ! 


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