mercredi 13 mars 2019

Ghosting


Hélène de trois
Eh oui !  Puisque la mère de mes enfants et de ceux conçus avant de me connaître, Dominique et Brigitte, dont l’aîné obligera à son premier mariage à dix-huit ans avec un certain Roland H, presqu’aussi jeune ;  union qui ne dura que quatre années quand elle débarquera bien plus tard dans ma vie à 27 ans et moi 25 ; ce qui constituera le deuxième serment devant Monsieur le Maire à la commune de Woluwé-St-Lambert (commune du grand Bruxelles) ; cette Anglaise (Louisa) imprévue, qui m’attendait sur le quai face au Coloba à Antibes en fin septembre 1987,  fut la  belle excuse qu’elle justifiera aux enfants pour se mettre directement en ménage avec  son thérapeute.   Lui aussi avait dû un peu en rajouter pour conforter sa nouvelle position auprès d’elle…et de mes voitures de collection qu’il lorgnait avec envie (curieux pour un médecin !) Il deviendra le troisième mari.  
 Ah ces Hélène !  Une guerre en plus ?  Non, je le rappelle cela se passa très bien dans le calme (Du style : d’accord tu gardes la Rolls, mais moi je reprends mon vélo !)   C’est vrai que d’avoir toujours le droit de plonger mon regard dans ses yeux d’émeraude aurait pu provoquer un conflit digne d’être conter dans l’Iliade et l’Odyssée d’Homère (ma première lecture à neuf ans, dévoré avec passion!)  C’est en traçant ces lignes que mes idées se regroupent...Hélas !, décédée en septembre 2016, - cérémonie auquel je n’assisterai pas sous cette légère influence de Charlotte, ma deuxième épouse depuis dix ans…qui me quittera, sans prévenir, cinq mois plus tard pour se mettre avec une copine qu’elle rencontra un mois plus tôt (qu’a jailli ce cri : cette chanson « Gosting », mais c’est loin du propos).   Le   Père Homère,  oui Homère aussi !,  le curé de sa paroisse  ne lui donnera pas que l’extrême onction (très fervente dans sa foi catholique).  Le toubib cocu était tombé après sa mort sur de la correspondance.  Il y lira que sa femme s’était unie au saint homme d’église dans des rites un peu sorciers au fond de l’Afrique noire.  Simple retour de manivelle…le Karma sans doute.  Tu vois toubib : bien mal acquis ne profite jamais ou, en tout cas, pas définitivement :  cette belle Hélène en état de faiblesse du corps, et manipulée par son bon docteur …Pour le curé ?  Qu’il aurait aussi profité de l’âme en peine (c’était votre période de disputes et, paraît-il, du fait que s’envolaient tes espoirs d’être reconnu comme Pasteur pour ta molécule MK2 contre le Sida qui n’avait pas abouti… et l’alcool en plus ? …), âme en peine fragilisée aussi par vos rapports devenus tendus …que le prêtre l’aurait peut-être exorcisée…de toi ?   Acte de foi, de la charité chrétienne qui de toute façon avait permis d’installer une officine médicale en plein cœur du Congo qu’elle avait financée.  C’était une grande dame, je suis fier d’avoir partagé avec elle vingt ans de vie.  Je t’ai aimée Hélène…et je sais que c’était réciproque.   


Ah oui,  « Gosting »…Mais c’est une autre histoire …et beaucoup moins calme (mon régime alimentaire n’est plus pareil) .  Vous comprendrez en écoutant cette chanson. !

OUI,  JE REPARS AVEC CETTE CHANSON EN PLUS À MON RÉPERTOIRE ET ENCORE , ME REVOILÀ  ANIMÉ POUR  DE NOUVELLES AVENTURES.  CHANSON TRISTE?   MAIS NON,  C'EST LA VIE QUI REVIENT OU QUI CONTINUE,  COMME CE TITRE "GOSTING" QUI VA ÊTRE MON CAS.





Un clic sur ce lien pour écouter la chanson
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LA DH du jeudi 27 mars 2008. Article de presse de Jean-Philippe de Vogelaere.

Ghosting
Paroles et musique Georges Salles  
Créé à Rochefort lundi  12 juin 2017

J’ai mal …j’ai mal …oui j’ai vraiment  très mal …

Elle  partit comme ça … s’est évanouie !
Plus un seul contact… je n’existais plus.
Pourquoi de tels actes de silence absolu ?  
On s’aimait à l’envi de jour comme de nuit.
Notre serment se fit sur la Sainte Bible
Notre union était parfaitement crédible.   

Comment c’est possible  on s’aimait si fort
Dès notre rencontre on veilla l’un sur l’autre
Elle toujours disponible de cœur et de  corps  
Oui nous étions amants … depuis si longtemps

Tout seul au matin,  dans la triste demeure
Le pain quotidien n’a plus de  saveur. 
Et  quand vient le soir dans le lit trop froid
Plus le moindre espoir d’être toi contre moi.
Pas encore une semaine et déjà l’avocat!   
Un divorce ?  C’est ton choix  et… ma  migraine!

Refrain 2
Comment c’est possible …/…
…/…depuis si longtemps

J’ai mal …j’ai mal …oui j’ai vraiment  mal …très mal
Oh oui que j’ai mal… mal…

À vingt ans peut-être que…,  
 Mais à nos âges extrêmes,
Bien drôle  cette époque
 Des libertés souveraines 
 Des tempes grises !  
 Le temps n’a plus de prise.
 « Plus de jeunesse ? », 
 Non surtout: « Plus de vieillesse ! »
Les aînés font la fête,  voguent d’îles en îles. 
De vraies marionnettes de la mode qui défile.   



Refrain 3
Comment c’est possible …/…
…/…depuis si longtemps


Elle  partit comme ça … s’est évanouie !
Plus un seul contact… je n’existais plus
Pourquoi de tels actes de silence absolu ?  
On s’aimait à l’envi de jour comme de nuit.
Notre serment se fit sur la Sainte Bible
Notre union  était parfaitement crédible.  


Partir …Moi aussi,  je m’en irai… loin des terres…
  Loin des souvenirs où toujours je te vois.   
Il me faut  oublier et pardonner ce parjure !
Voguer  loin,  très loin … Une nouvelle aventure ?    
Qui sait ?  Me restera-t-il assez de force pour hisser la voile
Qui poussera l’esquif et mon cœur meurtri vers une âme loyale ?
Si cela devait arriver,  je sais déjà que  cela me fera encore plus mal  
Quand je t’oublierai vraiment … que tu ne seras plus que néant.

 Oui nous étions amants…depuis si longtemps   



Souvenir de mon bateau détruit en mer par un cargo en face du Surinam en 2005, le Spirit of Sindbad, VIA 52, Cotre Alu dériveur intégral et puis j'ai connu Charlotte...On s'est marié...enfin,  pour un certain temps!   

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