samedi 13 juillet 2019



« Que si ce n’est pas toi qui le fais, qui le fera? que si tu ne le fais pas maintenant, quand le feras-tu ?; que si tu le fais que pour toi, t’es pas vraiment digne d’être un homme ».

Le souci d’écrire où je crois atteindre quelques humains, avec moi en ligne de mire en tant que premier lecteur, car qui se soucierait plus de moi que moi ?, mais pas que de moi, sinon qui serais-je, prêchait déjà cette maxime juive de plus de vingt siècles ? D’accord, cette prise de conscience existentielle a mis un certain temps pour que je puisse admettre ma propre singularité !  Aussi, à ce jour, il n’est plus question de remettre aux calandes grecques mes visions de comment je vois le monde – Oui, je sais, Einstein l’a déjà énoncé! –  Unique le père de l’atome brisé ?  Mais c’est relatif, nous sommes tous uniques…vous et moi censés nous surpasser.  Chaque Homme, il me semble, peut atteindre sa propre transcendance… et alors n’est-il pas de son devoir d’agir en conséquence ?  
-      Un peu présomptueux, petit Georges, ne trouves-tu pas ? À ce titre de te sentir unique, te permet-il d’énoncer ce genre d’affirmation? On dirait que tu tournes autour du pot.  Quels sont tes fameuses visions ?
-      I have a dreamZut, Martin Luther King l’avait déjà dit !
 D’ailleurs ce n’était pas un rêve, mais une façon d’introduire son sujet.  Ces hommes-là même s'ils rêvent , ils agissent surtout!  Mais encore une fois je pense l’avoir - et pas que moi - dit et rereredit : «  À chacun son destin ! », Einstein, Martin Luther King et moi, sans oublier Sœur Theresa, Donald  Trump, le Pape François et Rabbi Jacob,   on a tous sa particularité qui fait que les polémiques politiques concernant le réchauffement climatique, la pollution, la déforestation, les migrations de masse… que le propre de l’homme n’est plus le rire, (sauf en se moquant du  cinquième commandement « tu ne tueras point ! »),   mais l’orgueil de domination de l’Autre, cet autre, cet étranger.  Oui j’ai des visions, mais je les énoncerai demain dimanche.  Aujourd’hui , veille du 14 juillet 2019, les Français sont en fête !  Feux d’artifices, musiques tonitruantes qui traversent les murs et les fenêtres.  Impossible de me concentrer.

En attendant: 


 Mayday, mayday Grande terre malade ».




Cliquez ici pour écouter cette chanson



Mayday,  Mayday  …
Refrain :
Mayday, Mayday ! Grande Terre Malade
À quoi servent les discours envers les pollueurs.
Chantons  plutôt en chœur  cette ballade,
Ah !, ce qu’il faudrait c’est un bon docteur !

Les océans se fâchent,  la banquise se relâche !
Des villes, même comme New York, les ouragans s’en moquent.
L’eau la boue  le vent, il manque encore le feu ;
Tapis dans le tréfonds des volcans sommeillant.

Mayday,  Mayday  …

Un enjeu de taille  : les déchets nucléaires !
Certains scientifiques conseillent le fond des mers.
Pour ma part, je préfère,  le fond des  cratères ;
La lave  c’est pratique, ça lave aussi docteur

Mayday,  Mayday  …

Il  germe dans des  usines  de  tristes combines
Pour vendre d’étranges grains, cultures sans lendemain ;
Surtout pour les abeilles,  devenues inutiles.
Les  champs de pétrole,   pas ce dont elles raffolent !

Mayday,  Mayday  …

Encore s’il n’y avait pas tous ces enfants qui meurent,
En mal de nutrition et ce mal se déchaîne !
Le temps de cette chanson plus  d’une cinquantaine  ;
En plus des pollueurs  règnent des affameurs !

Mayday,  Mayday !  Grande terre malade !
Ce cri d’alarme et, comble de malheur
Des marchands d’armes, des victimes en cascade !

Oui!, ce qu’il  faudrait c’est un bon docteur !

Disons surtout,  une armée de psychiatres!


Arrangements: Philippe Capon

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