mercredi 14 avril 2021

 

Mon indéfectible admiration pour le genre humain

 

Mon indéfectible admiration pour le genre humain vient d’en prendre un coup.

En effet, le documentaire de Patrizia Marani, « Gluten, l’ennemi public ? »*,  diffusé sur Arte , hier mardi 13 avril 2021 , non pas à l’égard de la réalisatrice et des scientifiques indépendants qui nous apportent leurs lumières et leurs mises en garde au sujet de la malbouffe industrialisée, - je précise « indépendants », car d’autres experts, nous le savons,  sont à la solde de certains groupes financiers).    Force est de  constater  notre impuissance, aussi bien celle de nous, les  individus, que celle de nos  États, face aux grands lobbies de l’industrialisation alimentaire mondiale.   Pas sûr, que ceux-ci, toujours à la recherche de plus de rendements et de profits, voient d’un bon œil ce mois de jeûne du Ramadan qui vient de commencer. Bien que, ceci dit en passant, sans pour cela me sentir soumis à ce culte, le jeûne me semble être le premier bon pas vers une santé meilleure.   Un peu de repos pour nos enzymes ne peut leur faire que le plus grand bien. D’ailleurs, dans nos moments de lucidité de consommateurs raisonnables, attentifs à nos dépenses, nous pourrions ainsi réduire quelque peu nos budgets.  Imaginons un jour de jeûne par semaine.   Au bout de l’année, cela ferait presque deux mois d’économie. Mais, je le répète, cela ne ferait pas l’affaire des grands distributeurs mondiaux.    Dès qu’il y a un arrêt... Encore cette brusque alerte des Médias affolées par ce navire-tanker qui bloquât (que quelques jours) le Canal de Suez.  Affolement du rendement, du Capital (devenu incontrôlable selon Karl Marx en cas d’excès).  L’évidence du glyphosate mortifère ne touche pas encore la conscience des grands cartels producteurs... et l’UE, par ses règles de gouvernance (vote à l’unanimité), reste quasi paralysée et ne peut donc prendre les mesures qui s’imposent aux yeux de la majorité des Européens.  Sommes-nous des spectateurs amorphes, endormis asphyxiés?  Qu’attendons-nous ?  Cette Pandémie, tel un Léviathan courroucé, viendrait-elle enfin nous ramener à plus de dignité, puisqu’en ce moment nous méditons derrière nos masques, hésitant à quels vaccins nous soumettre, une fois de plus...ou non ! 

 *Mais à propos du gluten, ce qui n'a pas été relevé dans ce reportage,  il y a trente ans, j'avais lu que  des chercheurs constatèrent  la tendance à la schizophrénie de souris de laboratoires  nourries uniquement aux grains de blé...et, dès lors ma propre conclusion:    qu'est-ce que nous mangeons le plus,  nous les  anciens chasseurs-cueilleurs, n'est-ce pas notre fameux pain quotidien, (avec ou sans gluten - d'ailleurs, sorry chers distributeurs, je m'en fous) ?  Pardonnez-moi ce comportement  un peu belliqueux .  Normal vu ma consommation de brioches du matin! 


PR. extrait  de mon blog du 28 novembre 2020

À quand le vaccin de l’immortalité ? (Qui servirait à quoi sur cette planète à l'agonie!)

 Oui, tout cela devient ridicule à mourir; mais, cette fois, pas d'ennui.  Les dommages collatéraux ?  C'est face aux contraintes promulguées provoquant cette pression infernale, où, inexorablement,   nos cerveaux fragiles finissent par ne plus pouvoir nous maîtriser; déjà en constatant ces bévues policières où se déchaîne la haine de l'autre. Je plains autant  ces quelques recrues du service de l'Ordre que ce Michel tabassé presqu'à mort...Et de quel ordre?   Celui de la délectation d'un pouvoir qui profite de cette aubaine qu'est la santé publique? L'exaltation d'un système coercitif ? Ne nous trompons pas: l'Homme est bien un loup pour l'Homme -  et cela fut dit bien avant Hobbes ou Voltaire, du temps des Romains!  Mais d'après moi, c'est une insulte à l'égard des animaux que l'on considère comme des êtres inférieurs. L'évolution sociale humaine est totalement perverse....Pour moi, ce qui est sûr,  on est de moins en moins  heureux sur Terre!

 À propos de nous, simples mortels, cette chanson écrite déjà aussi trente-trois ans auparavant avec, un peu plus tard, la collaboration de Jean-Marie Dorval pour les arrangements (digitaux)


L’Essénienne ? 






Une voie, un chemin très ancien…oublié ;  comme vivait cette tribu juive au temps de Jésus.
Ont-ils survécus ?  Oui,  par l’oubli de leur propre identité.
Hommage à la non affirmation d’appartenir à un clan,  vecteur de conflits depuis la nuit des temps.  En bref,  sortir du nationalisme...dans un premier temps:  être Européens...ensuite ,  peut-être Terriens...si  notre  Planète tiendra  le coup encore.  



Écoutez les amis un instant
J’ai trouvé le chemin éternel
Que nous soyons de simples mortels
Dans l’ensemble nous restons vivants

Je vous parle au nom du Tout Puissant
L’Homme ne peut agir en mesure
Qu’en chassant cet enfer du dedans
Pour « bien faire »,  il doit être pur

Que du fond de l’abîme où nous sommes
On puisse encore y trouver des hommes
Est la preuve de l’amour infini
De Celui qu’on appelle ainsi

J’ai le remède pour vivre longtemps
Suffit d’être dans le mouvement
Manger du frais et du vivant
Vous garderez toutes vos dents

Ce qui permet d’être souriant
Dilate le nez évidemment
Il faut que l’air entre en dedans
Et nous aurons l’air* bien portant

J’évite de cuire les aliments
Avant de les prendre je les sens
Je recherche les vrais artisans
Le moins possible le tout-venant

Le lait de vache je le laisse aux veaux
Le sein de maman pour les poupons
Quant à l’alcool et le tabac
Faut être fol pour aimer ça

Méditation sans référence
Oublie l’ennemi c’est ta puissance
Esprit tranquille bien au repos
Permet d’agir sans confusion

Vibre dans le vent comme les saisons
Le vrai bonheur est au présent
Se manifeste alors l’Originel
De ton instinct qui te réveille

Et tu seras bien dans ta peau
Pourra aimer tout comme il faut
Quant à la Terre pour les suivants
Vaut mieux mourir sainement

(ou l'heur qui serait plus conforme à la langue de Molière, mais comme il est question de respiration, permettez-moi de profiter de cette confusion populaire).

 

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