dimanche 20 mai 2018


Thierry Marx  invité par Catherine Ceylac à Thé ou Café ce dimanche matin 20 mai 2018

Que du bien…effet catharsis assuré…me voilà réconcilié avec  le genre humain.  ( « réconcilié » par rapport aux commentaires sur mon blog retaurateurspolitico.blogspot.be à la date du 18 mai 2018) .  Oui découvrir qu’il y a sur terre encore de tels hommes me réconcilie et  me redonne beaucoup de courage.   Ici,  j’ai le sentiment  tout doucement d’atteindre mon but,   détourné trop souvent par les faits qui nous marquent,  nous blessent,  nous obligent à d’autres réflexions  =  et c’est plus fort que moi :  il faut que je donne mon avis et le partage avec qui le veut bien.  La question alimentaire est bien la principale question que j’aimerais aborder… Et quand ce chef étoilé nous parle de cuisine moléculaire et de son étroite complicité avec le physicien  Raphaël Haumont,  je crois très modestement devoir leur faire part,  ainsi qu’à vous,  chers visiteurs de mon blog,  des circonstances  qui ont chamboulé complètement ma vie,  ma psyché à une époque sans doute trop tôt,  au début des années 80.  « L’avenir des nations dépend de la façon dont ses peuples se nourrissent »  est une des maximes clés de Brillat-Savarin   que l’on retrouve dans son ouvrage « La Physiologie du goût ».  Oui,  j’ai l’intime conviction que nos caractères,  nos cultures occidentales,  notre économie,  nos forces de production et nos rapports intergénérationnels et sexuels,  et plus encore notre santé,    sont en fonction de ces milliards de molécules que nous ingurgitons toute notre vie.  Molécules alimentaires qui  hélas,  par les différentes combinaisons des préparations culinaires et industrielles  ne sont pas exactement  celles que notre organisme à vraiment besoin… et notre cerveau en est le premier perturbé,  comme si on mettait un carburant non adapté dans le moteur de  notre auto.  Je n’en dirai pas plus à ce stade,  car je souhaite rencontrer d’abord ces personnages en haut de l’affiche médiatique.  Une prise de conscience collective  pour les générations futures de Sapiens et de   toutes les espèces de la planète ne pourrait se concrétiser que par ce moyen de diffusion des masses,  avec en plus, pour chaque individu,  la transmission du Savoir par ce merveilleux cerveau Internet,  comme vous le constatez en ce qui me concerne.  Et j’en profite pour remettre cette chanson « L’Essénienne » au goût du jour.     


L’Essénienne ? 

Arrangement digital: Jean-Marie Dorval




Une voie, un chemin très ancien…oublié ;  comme vivait cette tribu juive au temps de Jésus.
Ont-ils survécus ?  Oui,  par l’oubli de leur propre identité.
Hommage à la non affirmation d’appartenir à un clan,  vecteur de conflits depuis la nuit des temps.  En bref,  sortir du nationalisme...dans un premier temps:  être Européens...ensuite ,  peut-être Terriens...si  notre  Planète tiendra  le coup encore.  



Écoutez les amis un instant
J’ai trouvé le chemin éternel
Que nous soyons de simples mortels
Dans l’ensemble nous restons vivants

Je vous parle au nom du Tout Puissant
L’Homme ne peut agir en mesure
Qu’en chassant cet enfer du dedans
Pour « bien faire »,  il doit être pur

Que du fond de l’abîme où nous sommes
On puisse encore y trouver des hommes
Est la preuve de l’amour infini
De Celui qu’on appelle ainsi

J’ai le remède pour vivre longtemps
Suffit d’être dans le mouvement
Manger du frais et du vivant
Vous garderez toutes vos dents

Ce qui permet d’être souriant
Dilate le nez évidemment
Il faut que l’air entre en dedans
Et nous aurons l’air bien portant

J’évite de cuire mes aliments
Avant de les prendre je les sens
Je recherche les vrais artisans
Le moins possible le toutvenant

Le lait de vache je le laisse aux veaux
Le sein de maman pour les poupons
Quant à l’alcool et le tabac
Faut être fol pour aimer ça

Méditation sans référence
Oublie l’ennemi c’est ta puissance
Esprit tranquille bien au repos
Permet d’agir sans confusion

Vibre dans le vent comme les saisons
Le vrai bonheur est au présent
Se manifeste alors l’Originel
De ton instinct qui te réveille

Et tu seras bien dans ta peau
Pourra aimer tout comme il faut
Quant à la terre pour les suivants

Vaut mieux mourir sainement

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